
Les amants, de Louis Malle
« La lune se couchait, et le dernier de ses rayons emporta bientôt le voile d’une pudeur qui, je crois, devenait importune. Tout se confondait dans les ténèbres. »
D. Vivant Denon (1747-1825), Point de lendemain
The magazine of unusual art, poetry, lost dandies & dreamy hotels + Paris Surréaliste
Les amants, de Louis Malle
« La lune se couchait, et le dernier de ses rayons emporta bientôt le voile d’une pudeur qui, je crois, devenait importune. Tout se confondait dans les ténèbres. »
D. Vivant Denon (1747-1825), Point de lendemain